Cet observatoire a pour but de transcrire de façon synthétique les données du secteur des Télécommunications et TIC à Madagascar durant ces dernières années. Cette page d'accueil contient un sommaire de toutes les données dont nous disposons, les détails ainsi que les commentaires sont disponibles en suivant les liens.
Le décret n°2014-1650 du 30 octobre 2014 définissant les procédures et mesures à appliquer par l'Agence de Régulation pour la réglementation du secteur des télécommunications stipule dans l'article 66 que "Il contient un résumé des activités de l'Agence de Régulation, le programme des deux années à venir, pour l'exercice clos, les objectifs du programme et les réalisations correspondantes, ainsi que des informations générales concernant le secteur et la réglementation au cours de l'année".
Conformément au décret N°99-228 portant réglementation et gestion des fréquences et des bandes de fréquences, l’ARTEC est chargée de la planification des fréquences en vue de l’octroi de ces dernières aux utilisateurs privés ou aux opérateurs. En ce sens, elle est chargée de l’élaboration du PLAN NATIONAL DE FREQUENCES DE LA REPUBLIQUE DE MADAGASCAR (PNF), et de la mise à jour de la Liste Nationale des Fréquences (LNF).
Le Plan National des Fréquences est le document de référence qui précise pour chaque bande de fréquences les services de radiocommunications correspondants autorisés au niveau national. Il permet de donner une visibilité suffisante à l’ensemble des utilisateurs (actuels et potentiels) de fréquences et d’orienter leurs choix en matière de bandes de fréquences à exploiter.
Après la séance de destruction des 1100 téléphones avec IMEI non-valides du 01er août 2019, l’ARTEC et la Douane continuent les opérations de contrôles auprès des revendeurs de téléphones de la capitale.
Ces contrôles ont permis de retirer un peu plus de 700 téléphones contrefaits du marché, qui sont actuellement mis sous scellés par la douane. 700 téléphones contrefaits qui proviennent de revendeurs différents et qui ont été soustraits du marché à temps avant d’être écoulés auprès des consommateurs.
Les opérations de contrôles se poursuivent malgré les revendications et les autres difficultés auxquels font face les agents. Il est à souligner que les téléphones contrefaits entraînent principalement des problèmes au niveau de la qualité des réseaux de télécommunications. Aussi, comme ils sont contrefaits, aucun contrôle préalable n’a été effectué sur les appareils lors de leur fabrication, ainsi il se pourrait que des éléments pouvant être dangereux pour son utilisateur se trouvent dans les composants de l’appareil.
Un téléphone est dit contrefait quand son numéro IMEI est non-valide. La vérification de la validité d’un numéro IMEI est possible sur le site web de l’ARTEC à travers le lien suivant www.artec.mg